Les plans

Le plan de voilure d'une jonque est aussi simple qu'efficace.

Une garde robe limitée à deux voiles lattées de bambous.

Aucune autre voile de rechange n'est nécessaire ; les éventuelles déchirures, en se limitant à un panneau, n'empêchent pas de continuer à faire route.

Des mâts autoporteurs traversant le pont et emplantés dans un support stratifié en fond de coque.
L'absence de haubanage réduit les poids mal placés, le fardage, l'entretien et l'usure des voiles au portant.

Les mats sont en lamellé de Pin d'Orégon
Le carbone pourrait être LA solution s'il n'était aussi cher ou même un mixte bois-carbone (à étudier lorsque l'on en sera là, quitte à le faire moi-même).

Ce type de gréement utilise (et use) un grand nombre de manœuvres courantes (cordage, poulies) mais ne nécessite pratiquement aucun accastillage ni aucune pièce mécanique fragile ; on peut toujours tout réparer avec quelques bouts.